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21 août 2004 -
soirée buffet chocolat à l'hôtel Fullerton
Ce soir (et comme tous les vendredi et samedi soirs),
il y a un buffet chocolat à volonté dans un grand hôtel de luxe
de Singapour qui s'appelle le "Fullerton", et ceci, pour
la (modique) somme de 28 $ de Singapour.
Avec
trois autres Français (Manal, Pem et Nico), nous
prenons un taxi pour nous rendre jusqu'à l'hôtel (environ 7 $ de
Singapour). A quatre personnes, c'est moins cher, plus pratique et
plus rapide de prendre le taxi que le metro et le bus. Lorsque
nous entrons à l'intérieur de l'hôtel, nous sommes très bien
accueillis (malgré le fait que l'on n'avait pas réservé) : on
nous fait asseoir à une table ronde et on nous sert une tasse de
thé (super bon le thé d'ailleurs !).
Le
thé est brûlant, on ne peut pas le boire.... pas grave !
Après tout, on est ici pour déguster du chocolat (je dis
"déguster" mais je pense "se péter le bide
avec du chocolat"). Waouh, le buffet est vraiment bien
garni et très varié, il y a des gâteaux, des biscuits,
des crèmes, de la fondue, des fruits et j'en passe. Je
rempli mon assiette avec tout pleins de bonnes choses !
Miam, j'en ai déjà l'eau à la bouche.
Je regagne vite ma place et commence à goûter un peu à
tout.... mmmmmmm, j'adooooore ! |

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Tout
est vraiment succulent (exceptée une crème au café que j'ai
prise, normal, je n'aime pas le café !). Je me régale de tout,
en particulier de la fondue au chocolat avec les fruits. Pour
finir, je prends un chocolat chaud 66% de cacao fait avec un grand
cru de cacao. C'est sympa car on vous le fait devant vous, au
fouet, dans une petite casserole.
Pour
être honnête, je pense déjà y retourner mais, cette
fois-ci, sans prendre de dîner avant car j'aurais voulu goûter
à plus de choses !
Après
ça, nous faisons un petit tour de l'hôtel et faisons quelques
photos. C'est vraiment grandiose, il y a un orchestre, de grands
escaliers en pierre (marbre ?), des fontaines, un bassin avec de
très gros poissons rouges, mêmes les toilettes sont
gigantesques.
Bon,
c'est l'heure de rentrer à PGPR, quel dur retour à la
réalité... !
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